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Everything posted by Bouzoukis
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On pourrait la mettre à jour, la liste (Ou alors, est ce que j'ai le droit de frapper le patron ? )
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Comment ça, pas les exercices ? J'ai fais quoi de mal, cette fois...
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Il voulait dire quoi par "diviser en deux partie ? J'ai pas saisie... (ARGH, NON, pas de Saphy en deux exemplairs !)
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[Morrowind]L'art délicat du mapping : exo et (surtout) exemple...
Bouzoukis replied to Bouzoukis's topic in Mods Morrowind (TES 3)
Sors le fusil et met en joue ToMarijuana J'sais pas c'que c'est comme bestiole, mais j'vais pas louper ! Bruit de chevrotine... -
[Morrowind]L'art délicat du mapping : exo et (surtout) exemple...
Bouzoukis replied to Bouzoukis's topic in Mods Morrowind (TES 3)
Et si jamais vous me dites que vous n'avez pas compris, parès tous ce que j'ai mis, et les deux heures de sacrifice de ma personne Y'aura un meurtre... -
[Morrowind]L'art délicat du mapping : exo et (surtout) exemple...
Bouzoukis replied to Bouzoukis's topic in Mods Morrowind (TES 3)
ARGH !!! Je... Je crois... crois avoir réussi... Shiamr... 2 heures... 2 entrée Hlaalu... Et moi qui voulait mettre plusieurs couloirs... ARGH ! Voici l'historique de MSN... J'ai...J'ai faillis y passer... Spoiler : cliquez ici pour voir le message -
Cet incapable m'avait suivit. Cet idiot voulait jouer avec moi. De rage de m'être fait surpendre, je me mit à élaboré des plans tous plus cruelle et viscieu les uns que les autres, n'ayant pour autre but que de me "défouler". Mais un nain ne devrait jamais faire ça, et sitôt pensé, je me mit à réfléchir à quelques chose d'utile, quelque chose que je pouvait exploiter. Il y a toujours quelques chose à exploiter. Il faut dire que de jurer avec mon sang et donc sur ma vie, ce n'était pas très judiscieux. D'ailleur, sans le savoir, j'avais conclus un pactes avec des forces malveillantes, me rendant plus puissant et pourtant faible : Si jamais je refusais de tuer un Phénix, je risquais de mourir. mais je ne le savais pas, et je ne sentais pour l'instant aucun changement en moi, et c'était là le piège, car si jamais je venais à refuser d'en tuer un, sans que je ne sache que je risquait de mourir, qui sait ce que j'aurais pus endurire... Plus tard, j'apprit que l'on appelait cela "le sceau de NEMESIS". J'ignore pourquoi ce nom. Ce que je sais, c'est qu'il est utilisé par les mages avec l'aide d'une formule, et qu'il est de temps en temps invoquez par les êtres dénués de magie, mais ayant une soif de vengeance incomparable. Ce fut mon cas... mais tout cela, je ne le sus que bien plus tard... Puis, lentement, mos piège m'est apparus, cruel, facile, et pourtant, si odieux qu'il anéantirais cet assasin une bonne fois pour toute... Mais je ne pouvais pasle réaliser seul. Il fallait que quelqu'un m'aide... Quelqu'un de puissant... L'assassin avait parlé d'une personne, sans la nommer, et quand il me trouverait, nous serions ennemis. Il fallait que je le trouve, et le plutôt serait le mieux m'étais-je dit ! Je partis donc, sachant qu'un assassin jouant avec moi me suivait, pour la ville de Ald'ruhn. Si l'on voulait simplifier la tache à mon mystérieux commenditaire, parir dans l'urbanisation serait le mieux. J'entendis un cracement sec, mais ce n'était qu'une brindille... Il voulait jouer avec moi, et bien, il n'allait pas être déçus... Il allait comprendre que de prédateur, il allait très bientôt passé en proie... Lentement, dans la fraicheur de la rosée du matin, je m'assis sur une souche d'arbre, admirant la beautée du levé de soleil. Le ciel d'un bleu foncé, virant sur le violet, s'éclaircit lentement, passant progressivement au rose, laissant avec lenteur le magenta et les couleur chaudes, envahir l'espace, tel de flammes. Mais cette enfer divin ne resta pas plus de quelques minutes avant que le bleu ne revienne, laissant dans le ciel lavé quelques rares et minces nuage. Ca allait être une belle journée. je me redressais douleureusement, mon dos ankilosé par cette nuit à dormir allongée dans l'herbe, et je rallumi mon feu. Après maintes efforts, il se ranima, réchaufant mes mains bleuis par la fraîcheur de la nuit. Et après avoir savouré cet instant de chaleur qui m'engourdis, je me résignis à me lever, mes pieds nus dans l'herbe dégageant une odeur nauséabonde. Au moins, sa protégeais des ennemis... Je pris ma paire de botte craseuse et boueuses tandis que je faisait cuire une sorte de petit oiseaux, doté de quatres ailes. Vus la morphologie de l'animal, je concluai que la bête n'était qu'un petit. je me demandis la taille de cette animal adulte. Il ne manquerait plus que la région abondede ce genre de bestiole... Je prit donc mes bottes tandis que le reste de la créature que je n'avais pas entièrement mangé grillais. Après un examain rapide des dégats, je me mit en quête d'herbe, mais la région n'étant pas abondante de cegenre de chose, je ne pus que prende du sable, et de frotte pour que la crasse s'enlève. Après plusieurs minutes de travail intense, je remit mes bottes, atteignant progressivement l'odeur de mes pieds,et je regardis le résultat d'un oeuil peu amène : le résultat était mieux, mais je ne resplandissais pas non plus. Après avoir mangée la viande qui avait rotie (une viande délicieuse, un peu parfumé, et très tendre sous la langue), je me mitt à essayer de nettoyer mes vêtements. Je nus aucun résultat positif avec le sable, à part que maintenant, ça me grattais. Aprsè avoir pesté à voix basse, je prit mon armure qui était resté dans l'herbe, à se dégrader dans la rosée matinale... De toute façon, elle ne pouvai pas être pire en aspect exterieur. Je chargis les pièces une par une dans mon sac à dos, qui me sciait litéralement en deux, puis, après avoir étains mon feu avec le sable environnant, je me mis en marche pour Ald'ruhn, qui n'était qu'à une heure de marche, et on pouvais apercevoir déjà son crabe géant. Je n'était pas reluisant, mais je ne ressemblais pas au mendiant du coin. Enfin, je l'espairais... Ma hache acroché à la ceinture, sur le qui vive, me promettant d'aller chez un tailleur pour changer mes vêtements crasseux et odorant. J'entris dans la ville, en gromellant contre un marchand de guar et un jeune homme assit avec lui, et je pénétrais dans la ville grandiose qu'tait Ald'ruhn... C'était définitif, je préfairais la mine...
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Je sais :D C'était une plaisanterie ! (Et en même temps pour savoir si les dirigeant avc la gachette facile...) Non, en fait, j'ai tenté, dans un module qui rajoute la Salle de la Magie, après que je me sois offusqué que personne n'avait pensé pour les rédorans que certains pouvaient très bien être des magiciens en herbe... Mais comme c'était pour un copain (qui à, malencontreusement oublié le module, et qui à tout intéret à me le ramener demain si il ne veut pas que je l'étripe), j'ai mis de légère allusion au collège, mais quoi qu'il arrive, personne n'aura la preuve que ce soi moi qui ait, dans la vrai vit, mit le mod, et de toute façon ,les allusions sont discrète... Ah oui, pour Détritus Bassus, cherchez pas... C'est moi... Mais vous ne l'aurez qu'un peu plus tard, il faut que je nettoie des truc un peu... pas très fort, les script, en vérité... Mais sinon, j'ai personellement trouvé cela splendide... Et vous serez les seuls à l'avoir... (Ah oui, ce ne sera surrement pas nettoyé en profondeur je ne suis pas très fort dans cela...désolé) EXCLUSIVIF !!! Rochmedia possède un magnifique mod, aller vous inscrire, et vous pourrez en profité ! (à publier...) CA Y est ! je l'ai ! :D Je vais faire un nettoyage de printemps, et je vous l'envoie... EDIT: Riez, mes bon amis... Apparemment, me manque un model... Je vais donc de voir partir à la chasse au models... Ca y est ! Il est tout chaud, mon mod ! Voilà : Manoir_du_magicien.7z Bon, et j'ai suivis comment faire le nettoyage... Tout est propre, et de 300 ko et quelques, il est redescendu à 110ko... Alors, l'entrée se situe près du manoir Rédoran... Le Maoir Indaris... Mais je ne sais pas si il y a besoins d'apartenir à la maison Rédoran pour pouvoir entré dans ma salle... Je dirais non... mais je ne vous dirais pas comment c'est à l'intérieur, je vous laisse découvrir !
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C'était une hécatombe. Les veuves pleuraient en silence, non pas à cause d'avoir perdu leur marie. Non, ce choc là était passé. Elle pleuraient de ne pouvoir reconnaitre le corps de leur mari. Je n'avais jamais connus à l'époque de carnage de ce genre, et je n'en n'étais que plus retourné. Je ne peux énumérer toutes les fois ou j'ai vomi, en pensant aux horreurs que j'avais faites, qu'ils avaient fait et de tout ces vie et bâtiments brûlé. On trouva 20 corps. Mais on compta 30 disparus. Nous n'avions pas pus diférencer les tas de cendres des 3 phénix abatus des cadavre calciné... A cette pensée, j'ai vomi. Personne ne devrait connaitre ça, et eux, le connaissait chaque année... Je vis l'homme qui était dans l'auberge. Lui aussi avait tué cette nuit. C'est lui qui avait achever le deuxième Phénix. Personne ne sut ce qui est arrivé à la troisième personne, mais on pense que le bout de cendre accrodhé à son épée était sa main. Nous étions deux héros vivant, souillé par la mort de deux Phénix, chacun hagard et perturbée. Je me mit à aproché du puissant être que j'avais achevé, et je me mis à fouillé les cendres, dans la quête de trouver ma hache. Je ne trouvis absolument rien. En plus le fait d'avoir perdus ma hache, il n'y avait pas d'oeuf. Or, un Phénix, quand il meure, à forcément le temps de laisser son empreinte sous la forme d'un oeuf. Et bien, là, non. - Et, qui a fouillé les Phénix, ce matin ? intérogeais-je les gardes. Comme j'avais attiré le respect de la population et de la garde, on me répondit tou de suite : - Et bien, je pense que c'était la sage femme. Elle vit dans... - La petite maison près de la sortie du village. L'une des rares à ne pas avoir brûlé. - Exacte, répondit le garde, étonné, en fait, quand j'y pense, sa maison n'a famais été entièrement brûlé, des ois un peu parce que l'incendie se propageait, mais jamais parce que les Phénix la visait... Remerciant le garde, je me dirigeait vers la demeure de notre vielle guérisseuse. Quand j'arrivis devfant la porte, je ne put l'ouvrire. Elle était vérouillé. Je toquais en disant : - Ouvrez, c'est un ordre ! J'entendis de drôle de bruits, comme quelqu'un qui range en hâte quelque chose... - Je vous préviens, je vais forcer la porte ! Toujours des bruits, mais beaucoup plus actifs. Je n'attendis pas, et je prit de l'élan, espérnt que les gonds étaient vieux, et je courut, frappent de plein fouet la porte. Celle-ci se décrocha et moi, emporté par mon élan, j'allait finir ma course dans le lit plein de torchi que j'avais en partie arraché... Je me relevais tant bien que mal, me battant avec les draps, et je vus ce que faisait la guérisseuse, maintenant immobile, me regardant en attendantson verdict. Elle avait un des Oeufs de Phénix, un autre dans une trape ouverte amménagé dans le sol. - Alors, on fait du trafique de Phénix, Madame ? - Ce n'est pas ce que vous pensez, je... - Et qu'est ce que je devrais penser ? Que vous ave sacrifié au moins 30 vies pour récupérer de l'argent ? Que vous avez détruit tout un village pour de l'argent ? ET QUE CHAQUE ANNEE VOUS RECOMMANCEZ ?! Mon ton avait letement augmenter, la rage déformant mes propos. Si j'avais eu ma hache, elle ne serait plus en vie à l'heure qu'il y est. - Non, ce n'est pas ceque vous pensez, je... - QUOI ENCORE ?! Vous avez essayez de m'asassiner, moi et l'autre homme, dans l'auberge, en nous droguant, la petite génie des poison ! Il me sufirait d'un geste pour vous expédiez en Enfers, et avec un peu de chance, vous retrouveriez ceux que vous y avez tué ! Je saisis un couteau sur la table, et je me retournais, ma rage bouillonant intérieurement. - Non ! Arrêtez ! Si vous faite cela, ils ne reviendront pas ! Ils périront tous ! Ce n'est pas moi pour l'auberge, je ne voulait que les sauver ! Non ! N'écoutant que ma rage bouillonante, je ne prit pas le temps de réfléchir à ses propos. Je l'avais tué, lui coupant les deux artères qui transporte la vie... Sans le savoir, j'était devenus un boureau, exécuteur, et j'avais tué une des dernière personne qui pensait que la vie d'un Phénix valait bien de sacrifié la vie d'autrui. J'avais tué l'un der dernier véritable gardien des Phénix. Quand les gardes entendirent le cri d'agonie de la vielle femme, ils accourèrent, épée en dehors du fourreau, et quand je leur expliquait en montrant lzes oeufs pourquoi je l'avait tué, ils me crurent, et brûlèrent le corps de la guérisseuse, ainsi que les oeufs. Des cris de soufrance provenait des oeufs, dont leur occupant avait pour la première fois depuis leurs résurection, connnut la douleur. Pour moi, ce n'était qu'une traficante d'oeufs, oeufs que l'on avait brûlé, pour qu'ils ne reviennent pas aussi nombreux, et qu'avec un peu de chance, on finirait par les détruires... C'est comme ça que je m'éguaris, perdus dans le monde de la soufrance, et, devant l'assistance, je me fis une entaille dans la main, et de mon sang je scellit le pacte de détruire les Phénix pour que des atrocitées pareil ne se reproduisent pas. J'avais choisit, et je le savais, le monde des ténèbres et du mal, celui où ces fabuleux oiseaux sont exécuté. Mais après la nuit d'horreur que je venais de voire, rien, mais alors, absolument rien, ne pourait me faire changer d'avis... Après avoir juré à voix hautes, je me mis à aider les habitants à déblayer les reste des maisons en cendre, ainsi que de couper du bois. Pendant une journée entière, je me mit à cooper et à couper du bois, sans aucunes intéruption. A la fin de la journée, érintée, fatigué, j'allais dans l'abris qui servait de taverne pour boire un coup les derniers tonneaux restant, quand un garde m'arrêta : - Toi, le nain, notre commandant veux te voire. Malgré l'insulte, j'acceptais, et le garde me conduisit dans le fort, empruntant un dédale de galerie, parfois sombre et humide, parfois éclairer de torches, et parsemé de tapisserie. Nous arrivâmes dans un couloir où défilaient des portes, au moins 20, et nous arrètâmes au bout, devant une porte en meilleur état. Le garde toqua 3 coups, on nous répondit, et nous entrâmes. Ce n'était qu'un petit bureau, pas très spacieux, où une table miteuse couverte de paperasse et de livre avait été placé. Des livres de compte ouvert séchait tandis qu'un homme les remplissaient, trempant à intermitence sa plume. Au bout d'une minute, il reposa sa plume et me regarda, m'étudiant pour trouver mes failles. - C'est bon, vous pouvez partir, dit-il au garde qui s'empressa d'obéir. Savez-vous pourquoi je vous ais ammené ? - Non Il soupira, se prenant le visage entre les mains. Puis il releva son visage, et il dit : - Vous ferez une proie facile. - Une proie facile pour qui ? - Il y à en ce monde des forces qui n'attende que des hommes comme vous pour les berner, les attorer à eux, et ensuite, les forcer à faire ce qu'il désire de vous, ne vous considérant pas avec plus d'importance qu'un pantin. Ce que vous avez fait, de jurer la mort des Phénix, il le saura, et il vous fera venir à lui. Je ne dit pas que ce que vous avez fait étaitmal, après la nuit que vous avez endurée, du niveau légal, la tuer était justifié, et de toute façon, elle serait partit pour l'échafaud, mais d'un autre point de vue, vous savez ce que représente réelement un Phénix ? Non ? Et bien, sachez que cette vielle femme ne faisait pas de trafic d'oeuf, elle les emmenaient dans la montagne pour les laisser éclore. - Je ne crois qu'en ce que je voie, et ce que j'ai vus, se sont des monstres assoifée de sang qui s'en sont pris à un village tout entier, et qu'ils ont rasé. - Je ne vous raisonnerais pas, n'est ce pas ? - Non - Mais si jamais vous les exterminez, dans le cas où cela arriverait, vous savez ce qu'il va se passer ? - Non - Des forces ténébreuses s'abatrons sur toutes cette île et bien au delà. Personne ne sera épargner. L'espèce humaine, naine, elfique, orque... Tout les êtres vivant connaitrons un énorme péril. Voulez-vous vraiment voire ça arriver ? Je ne répondit pas tout de suite, réfléchissant à ce que j'allait dire. Puis, impartiale, sans aucune rage ni tonalitée dans la voix, je répondit ceci : - Les nains réfléchissent avec logique. Avez-vous jamais entendus un pareil désastres, que des forces aubscure se seraient déjà abatus sur notre monde ? Non ? Alors rien ne prouve que ce qu'il se dit est vrai. Comme rien ne prouve que les Phénix soient intélligent. Celui que j'ai tué hier, n'était pas intelligent, il se comportait comme une bête apeurée qui tente le tout pour le tout pour se sortire des griffes de son prédateur. Ce que je vois, moi, c'est que les Phénix tuent et détruise la vie sur leur passage, décimant et mettant en péril l'éxistence humaine, ect... Et quand ils seront tous exterminé, si jamais ce que vous dites est vrai, et que des forces aubscurs s'abbatent sur nous, et bien, je les affronterais comme j'aurais affronté les phénix auparavent. Surtout, il m'est dur de prendre en compte l'avis d'un lache qui est resté enfermé dans la pièce la plus enfouies du fort, en priant les dieux pour que sa misérable vie soit épargné, pendant qu'il envoyait à la mort les habitants et les gardes. Sur ces mots, je partis de la salle, retrouvant progressivement mon chemin, et je retournais dans le village. Mais quand je sortis du fort, un des gardes me donna une bourse, essouflé, de la part du commendant, pour avoir tué un Phénix et découvert et détruit un trafique d'oeufs. J'allais refusé, mais le garde était déjà partit, et j'avais besoin d'une armure et d'une arme. Après de nombreux marchandage, je sortit de l'armurie miraculeusement intactes, et j'admirais mon équipement nouveau. J'avais acheté une hache que j'avais nommé Tueuse dont le manche avait été finement ouvragé et équilibré, facilement maniable à une main, et la tête à double tranchant aiguisé avec soin de la hache avait été recouverte d'une finie couche d'argent, me rendant avec cette arme capable d'affronter n'importe qui ou quoi. J'avais auss iacheté une armure, pour mieux résister aux coups, ce qui était indispensable dans l'aventure sur laquelle je me lançais. Malheureusement, après maintes essais, je dus en conclure que de toute façon, les armures humaines étaient beaucoup trop grande pour moi. Alors, comme j'allais partire, dépitée, le forgerons sortit l'une des nombreuses expériences de feu son père, qui n'était autre qu'une armure pour nain, à ma taille. mais comme ce n'était que des essais, elle n'avait pas été très ouvragés, grssière, taché et légèrement rouillé à certain endroit, mais cela pouvait encore s'arranger, si l'on savait entretenir une armure, comme moi. Mais surtout, je l'avais prise aprce qu'elle était résistante. Quand je sortit de l'armureire, dans ma boite de féraille, je ne pouvais le nier, le beautée de Tueuse jurait avec la laideur de mon armure. Je me promis de m'acheter une armure convenable dés que possible... J'aperçut l'homme de la taverne, assit sur la même souche que moi attendant l'arrivée des Phénix. Je m'approchait de lui, et il ne dit mots ni semblat vouloir m'addresser la parole. Je lui addressai la parole : - Je vais partir demain de cette ville pour le Nord. Il ne me répondis pas, regardant un espace que personne ne pouvait voir - je partirais vers Ald'ruhn, dans l'intention de m'y reposer quelques jours et... - Je ne viendrais pas avec toi, m'intérompit-il, mais c'est ce que tu contait dire, n'est ce pas ? - Oui - Je me suis trompé sur ton compte. Je pensais que tu avais, quand je t'ai vus, le coeur bon, et je voulais voire comment tu réagirais quand je les aient vus arriver. Quelle coïncidence, tu ne trouves pas, devoir arriver les Phénix le jour où je t'ai trouvé, alors que je les attendais depuis des mois ? Mais au moins, j'aurais vus ce qu'il y avait à voir, c'est à dire un être assoifé de vengeance. - C'est toi qui a pris le dernier oeuf, n'est ce pas ? - Effectivement, pour le sauver j'ai tué un phénix et pris son oeuf, mais tu ne pourras jamais le prouver. Ce que tu a fais, de jurer avec ton sang d'exterminé les Phénix, tu le regrettera. Je te le ferai regretter. Quand nos route se recroiseront, je te turais, aussi simplement que ça. Il y a beaucoup de monde qui veut voire les Phénix survivre, moi y compris. Et si tu n'avait pas fouillé la maison de la guérisseuse avant moi, deux autres Phénix serait en vie, à l'heure qu'il est. Il se leva. Maintenant, IL te suivra, et quand il te trouvera, nous serons officiellement enemis. Et il partit dans la ville, se fondant dans les ombres des bâtiments... Spoiler : cliquez ici pour voir le messageJ'en peux plus ! n'écivez pas si vous ne le voulez pas, mais moi, je peux plus écrire. Et, Glenwind, pourais-tu changer légèrement ton texte ? Sinon, quelqu'un d'autre pourais le faire ?
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J'attendais, dans la fraîcheur de la nuit, tandis que je luttais farouchement contre le sommeil, les "innomables". Le fait de ne pas les nommer me paraissait complètement idiot. La religion des nains affirme que rien n'arrive par hasard, et que les croyances local dans la malchance ne sont que des absurditées. Cela à de nombreuses fois été démontré. Mais pire que de me rendre exécrable car personne (j'avais intérogé au moins quinze personne) ne voulaient me renseigner sur ce qui risuqait de nous tuer, c'est que j'ignorait complètement comment le combatre, si il était magique ou pas. Et l pire dans tout ça, c'est que ces idiots pourraient sauver avec un peu de chance leurs vies si ils me disaient CE QUI NOUS ATTENDAIS. J'en aurais hurlé de rage. Alors, assis sur une souche d'un arbre mort, j'attendais, passant mon temps avec l'herbe de pipe, ce "poison" d'après les nains, mais auquel j'étais malheureusement devenus dépendant... Pendants les quelques heures qui avait suivit mon attaque par la bête, les cris n'ont pas cessé, mais au lieu d'être la panique, c'était maintenant l'organiation pour résister le plus longtemps possible aux "Innomables" Ils étaient actuellement en train de fouiller l'auberge pendant que je surveillait, énervé, la lueur grésillante de ma pipe éclairant faiblement mon visage. Ils n'avait rien trouvé, car par on ne sait quel moyen, tout les locataires avaient été sortit de leur someille et évacué quand les "Innomables" avaient été signalé, par un messager comme je le compris quand je tentais de trouver la réponse à mes intéroguations. Bien sûr, par un heureux hasard, on m'avait oublié. Mais comme cela m'étonais au plus haut point, les nains sont réputé pour avoir un someille léger, et de plus, j'était très méfiant quand je m'étais couché, donc quand tout le monde aurait hurlé pour sortir de l'auberge, je me szerais réveillé, je fis inspecté ma chambre, et on trouva dans le verre d'eau que j'avais bus le soir une croûte jaunâtre, qui, d'après la vielle dame qui était guérisseuse, était une drogue que l'on utilisait pour endormir. Et Aparemment, il est incolore et inodore, at c'est à cause du manque de mouvement que la croûte c'était déposé. Et malgré une inpection (qui n'était, il est vrai, pas très minutieuse, les habittants avait une autre crainte) une deuxième personne avait été droguée. Je vis sortir de l'auberge un homme, en armure, d'une couleur sombre, par la porte d'entrée désormais ouvert. Il regardait autour de lui, étonné, sur la défensif, cherchant à comprendre qu'est ce qu'il y avait. Puis il m'aperçut. Le plus inquiétants était qu'il semblait me reconnaitre, et son armure ne pouvait pas vraiment attiré la confiance. - J'ai entendus des hurlements, vous aussi le nain ? Je me renfrognait, crachant un panache de fumée. - Est ce que je vous ai demandé votre avis, l'humain ? Conscient de l'insolence involontaire de ses propos, il s'excusa, et me demanda ce qu'il se passait. Je lui répondit qu'à part que nous avions tout les deux été victime d'une tentative de meurtre, que tout le monde paniquait car de certain "Innomable" allait arrivé et ue tout le monde craignaient, rien de spéciale ne se déroulait. - Mais qui sont les Innomables ? - Je n'en sais pas plus que vous ! Personne ne veut rine me dire ! Je ne sais même ps si c'est magique ou pas et... Des cries m'intérompurent. Ce n'étaient pas les cris habituelle des personnes qui tentaient de préparer au mieu le siège, c'était ceux des personnes qui avaient VUS. ils arrivaient, et ils étaient visible - Et bien, vous vouliez voir à quoi il ressemblait, et bien, regardez... Tout les habitants regardaient, apeuré, le ciel, en pointant du doigt ce qui ressemblais à une boule de feu. Mais non, cette petite boule se raprochait, grandissante, et l'ondistinguait maintenant les ailes, ainsi qu'un corps. Et il n'y en avait pas qu'un. Une bonne dizaine de ses "oiseaux" se raprochaient, pour la plus grande panique des habitants, regroupé derrière des amoncellement de pierres. Et d'un coup, je compris ce que c'était ! Ce ne pouvait être que des Phénix ! Bien sûr ! Ces oiseaux mythique existaient donc vraiment ! Je les regardaient évolué avec grâce, fondant dans le ciel en faisant un ballet qu'eu seul connaissaient... Mais pourquoi les habitants de Caldéra les craigniaient-ils donc ? Pourquoi craignait-ils ces oiseaux si beau et intelligent ? La réponse n'allait pas tarder, et elle n'était pas très positive... Lentement, les oiseaux s'aprochèrent de haut Caldéra. Lentement, ils commencèrent à se déporter vers la droite, et j'entendis des soupirs de soulagement. Mais ils étaient faux. Les oiseaux fondirent sur la ville dnas un hurlement à cous glacer le sang. Je me mis à trembler de peur. D'une peur comme jamais je n'en avais connus. Le carnage allait commencé. Les oiseaux, doublant, triplant leurs vitesses, se raprochèrent de Caldéra avec beauté, mais d'une beauté cruelle qui ne pardonne pas, une beauté d'une telle violence que vous ne pouvez en ressortir vivant. Je connus la pire nuit de mon existence. Les gardes, tremblants, décochèrent leurs flèches en argent, mais leur stock était limité, et il le savait. La première volée toucha les deux premiers phénix, leurs transperçant les ailes, les estropiant à vie. Ils poussèrent des cries de détresse et de douleur, puis ripostèrent. Leur bec écarlate s'ouvrit, et un jet de flamme en sortit, arosant la baricade de pierre d'un tir mortelle. 5 homme périrent, dans une soufrance si grande que je ne pourrais vous la décrire, et personne ne devrais avoir à voir cela. Et l'hécatombe ne faisait que commencer... Je ne pouvais rien faire face à se massacre pour sauver les paysans de ces monstres de flammes, tel venus des Enfers ! Mais ma fidèle hache me fut quand même utile. Elle me servit comme boureau, exécuteurs d'honneur de ces monstres. Les deux phénix tentèrent de reprendre de l'altitude, mais leurs ailes blessé ne put les aider, et des lances lancé par les gardes les paralysèrent pour la dernière fois de leur vie au sol. Je m'élançait, avec notre mystérieux homme de l'auberge, vers le phénixlee plus proche,qui devait bien faire environs 15 mètres de lonngueur, et le double les ailes déployé. Mais là, il les avait replié, les flèches se liquéfiant par la chaleur. La chaleur... Cette chaleur était si intense que l'air autour de lui ondulait. Trois hommes s'élancèrent, pique en avant, pour tenter d'achever la créature agonisante, mais qui lançait encore des jets. Et pendant ce temps là, les volé de flèches se succédaires, inlassable, touchant rarement les phénix qui maintenant pris d'une rage ancestrales fondait sur les habitants qui hurlaient en tous sens, les transformant en torche vivante, brûlant les maisons sans pitiée, anéantissant la ville. Le chaos règnait partout. Mais moi, j'étais en partie dans mon élément, les flammes... Les forges... Les trois hommes furent brûler vif, tandis que leur cadavre calciné restait accroché à leur armes, qui étaient elle même empallé sur le dos du phénix. Je m'élancit. Je ne sus jamais ce qu'il se passait dans la ville. Je voyais seulement le phénix, qui me voyait aussi, à la chaleur rdent des flammes, ainsi que sa douleur. Je m'approchais le plus possible, sentant progressivement ma chair brûler tandis que je refoulais tout mes instincs qui me disaient de partir et de laisser la bête ouj elle était. Mais je devais. Dans un ultime effort, je lancis avec précision ma hache, visant le coup. Je ne le ratis pas, lui autend presuqes intantanément la vie. Le cadavres se mit à fumer, puis il se transforma en un tat de cendre brûlant, les cadavres à moitié enfuit la dedans. J'avais tué un Phénix, une de ces créature de rêve, mais dans mon esprit, je n'avais aucun remors, car c'était de l'auto-défense...
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Je ne mettais pas tout de suite endormis, j'ai fais ce que toute personne de sensé aurait faite : j'ai tenté de me guérir, et j'appuis sur le terme tenté. Un bandage de tissus dissimulait mon nez, ainsi que mon sourcil droit. Je n'avait au début pas réussis à m'endormir, craignant que la brute ne vienne dans la nuit pour se venger, mais la fatigue du combat et de la journée finit par avoir raison de moi, et je m'assoupi dans mes draps à moitié déchirer par mes essais de guérisons, en ayant mis ma fidèle hache à portée de main. Au milieu de la nuit, des hurlements me reveillèrent. Je m'empêtrais pendants plusieurs minutes, tentant de sortir de cette boule de draps qui m'oppressais. J'y arrivis enfin, et quand je sortit ma tête du lit, il ne me fallut que quelques seconde pour m'habituer au peu de lumière, don héréditaire des longues journe à creuser dans le noir complet dans le flanc de la montagne en quête d'or. Je crus à un mauvais rêve pendant une fraction de seconde, quand j'en entendis d'autre. Le village se réveillait, affolé, et ce n'était pas parce que des amis arrivaent... Ayent pris ma bonne vielle hache que je saisis à pleine main, je m'élançait à travers la chambre, pour débouler dans le couloir. Mais là, trahison, ma porte était bloqué ! Quelqu'un l'avaity verouillé pendant mon someille, me bloquant du monde extérieur. Mais pourquoi ? La répons arriva bien assez tôt : J'entendis un grognement sourd venant d mon armoire que je n'avais pas ouverte. - Oups ! Et M.... ! Je n'avais pas le temps de savoir si c'était féroce ou pas, il fallait que je sorte ! Je pris un peu d'élan, et je fonçait en mettant mon épaule en avant pour forcer la porte. Le seul résultat fut que je souffris. Et les gratements et grognements n'était que plus présent; Je pris ma hache, et, l'abatant avec une cadence quasi identiques, les coups se succédèrent, comme lorsque je coupais le bois. Cette porten était seulement pour moi un chêne particulièrement résistant. D'un seul coup, la porte se rompit et une brêche fut visible. Je l'agrandit avec quelques coup bien placé, et je me mit à courire comme un forcené dans le couloir sombre, la hache à la main, les mains en sueurs. Je dévalai les escaliers, arivait dans le bar, désert. Les bougies éteinte de puis longtemps semblait venir d'un autre âge. Je courut à travers la pièce, renversant les tables derrière moi, et arrivai devant la porte d'entrée. Elle aussi vérouillé. Et là, j'entendis un craquement à l'étage, dans ma chambre. Les fauves étaient laché. Prenant mon courage à deux main, je sautai sur la vitre, la brisant en des millier de bout hérissé qui m'entaillèrent le corps, et je butai contre des volets, eux aussi vérouillé... Mais au moins, ils étaient moins épais que la porte. Avec deux coup de haches, je brisai le loquais qui les verrouillais, et je sortit dehors. Comparé à l'intérieur comme mort, le village était en effervescence. Pas un seul endroit ne courait quelqu'un affolé, une torche à la main, tentant de réveiller toute les personnes. La "chose" me sauta dessus, par derrrière. Je ne sus jamais ce que c'était, à aprt que c'était poilus, avec des dents, et que c'était féronce. Je tombai face contre terre, tentant de respirer tandis que la chose lassairai mes vêtements, en mécorchant le dos. Avec un geste de désespoire, je roulais sur le dos, exposant mos estomac, mais au moins, je pouvais frapper. Ce que je fit. Du sang verdâtre et écarlate se mirent à couler de partout, le premier venant du monstre, et le deuxième, de mon corps. La hache frappait encore et encore, amis avec de plus en plus de faiblesse, et j'allait mourrir si un paysan, apercevant la bête, ne lmui avit envoyé sa torche pour l'effrayer. Elle poussa un hurlement quand la trche commença à la brûler, puis elle s'enfuit , les flammes s'éteignant progressivements de son corps, tandis que je gisais, agonisant... Je me rapelle seulement de visage flou, de cris, ensuite, des personnes m'ont soulevé, et m'on emmené dans un endroit reculé du village, je crois, car je voyais encore les étoiles, à moins que je ne délirais... J'ai vus en visage plus vieux que les autres, couvert de rides, s'approcher de moi, et déboucher une sorte de fiole. De la magie, certainement Je tentais vainement de refuser : les nains ne doivent pas utiliser la magie, même dans les cas extrême, où leur âmes ne rejoignent pas le panthéons des dieux, d'après notre religion. Mais je ne pus résister, et la vielle femme qui se trouvait devant moi me versa son elixir dans la gorge. Une sensation de bien être me parcourus, puis de bonheur intense, et je sentit mes os, ma chaire, ma peau... Bref, tout ce qui avait été endomagé se restoré... Au bout de cinq minutes, je pouvais voir mieux, de dix, je tenais debout, et de quinze, j'était prêt au combat. On m'avait transporter dans une maison entre temps et, assit sur un lit, j'écoutais la vielle dame : - ILs arrivent. Comme à chaque fois, nous n'y pouvons rien. Chaque années, pendant une nuit que nous ne connaissons pas, ils arrivent, suivant un tracé que nous ne connaissons pas, détruisnat tout sur leurs passages. - Mais qui sont-ils ? - Nous les nommons les Innomables, car les prononcer porte-malheur, dit-on. Quoi que je dise, je n'arrivis pas à en savoir plus sur ces Innomables qui arrivaient, ni comment ils arriveraient, et surtout, de où. Je sortit, ayant nettoyé ma hache ensanglanté, et j'attendis devant l'auberge, teant fermement ma hache, tendis que les paysans, armé de fourche et de faux, craignaient le pire
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Oveanne se réveilla, pour la deuxième fois de la nuit, mais pas parce qu'elle avait fait un cauchemar, mais parce qu'elle commençais son cauchemar... Elle se leva d'un bon, entendis un bruit de chope au rez de chaussé... La dague ! La seule arme qui pouvait encore l'aider ! Elle la saisit à pleine main, frissonant au contact du métal glacé, et descendit prudamment les marches d'escalier. Il y eu un grincement. Une ombre se jeta sur elle, lui arrachant la dague des mains avant qu'elle ne réagisse. Elle vit avec soulagement que ce n'était que Paxton qui maintenant, regardait avec effroie l'arme qu'il venait de lui arracher. - Cette arme... Ou l'avez vous eu, lui demanda-t-il sans quité, livide, la dague des yeux - Je ne sais pas... Je l'ai retrouvé cette nuit dans ma chambre Consciente que ce qu'elle disait n'avait pas le moindre sens, elle tenta de mieux s'expliquer, mais il l'en arrêta : - Non, nous n'avons pas le temps. Si je suis réveillé, ce n'est pas parce que je soufrait d'insomnomie. Avant qu'elle ait eu le temps de l'intéroger sur ce qui se passait, il l'entraina vers le haut de la maison, dans la chambre. Il baricada la porte de l'intérieur en poussant l'armoire contre la porte, leur bloquant la sortie au res-de-chaussez. Oveanne qui était rester sans rien dire tenta de protester contre ça, mais un hurlement l'en empêcha - Je ne sais pas ce qu'il y a dans votre village, mais en tout cas, sa s'approche ! A travers la fenêtre, il virent arriver une cavalcade qui s'arrêta près de l'entrée, et trois hommes descendirent de leurs cheveaux. Dans le peu de lumière, on voyait seulement leur longue cape, qui flottait derrière, ainsi que leurs épées qui réfléchissaient les rayons de la lune. Voyant que la porte était bloqué, le plus fort d'entre eux commença à arracher la porte de ses gonds à la force de l'épaule. Des craquements sinistres résonaient. - Vite, j'ai l'impression qu'il ne nous veulent pas que du bien ! Il faut trouver le moyen de sortir. Vite... Vite... La fenêtre ! * * * Les nains sont fais pour creuser, pas pour combattre, tout le monde le sait, mais pourtant, moi, Börjok, fils de Blörk le costaud, je décidai de partir loin des montagnes, vers la vallée, avec comme seul amies ma fidèles hache en fer, qui, longtemps, m'a servit pour couper le bois. Mais bientôt, elle me servira à couper les membres des briguands qui m'affronteront pour me voler mes richesses. pourquoi est ce que je voulus quitter la douceur des montagnes pour me lancer dans l'aventures périlleuse ? Je ne sais pas. Je sais seulement que je devais le faire. Et je ne le regrette pas aujourd'hui. Quand je préparis mes frêles bagages, ignorant tout du rôles cruciale que j'allait jouer, comme chacun de mes compagnons, certains défunlts, les nains tentèrent de me raisonner. Tout leurs savoirs de forageurs ne mit pas à bas ma détermination. Je partit fièrement, laissant ceux que j'aimais derrière moi, en avec devant moi, l'inconnus. J'arrivis dans une petite ville nommé Caldéra à la tombé de la nuit, les jambes en cotons, ne la connaissant que de nom pour être la plus proche de ses mines. La ville en elle même n'était pas extraordinaire, comme je pus le constater : des petites boutiques de marchand, une taverne d'ou sortait en quasi permanence des bruits de voix éttoufé par les fenêtre. Quelques maison tout aussi primitives étaient construites, la plupart de leur occupant, soit étaient partit travaillé, soit étaient en train de se payer une tournée dans la taverne de chope de bierrre, bien mousseuse, renversant la plus grande partit par terre tandis qu'ils chantaient des chanson et comptines criardes, pour ne pas dire grossière et vulguaire. J'aperçut une ou deux personnes craintives qui couraient dans la rue pour aller chez eux ou chez un marchand, craintive. Même les gardes du Fort qui y étaient installé semblait craindre le pire. Ce n'était sûrement pas le moment d'attirer l'attention si l'on voulait garder la tête sur les épaules. Mais j'était fatigué, comme tout les être vivant : je n'avais jamais fait une telle distance à pied. Un nain nait dans la montagne, et il y reste ! Mais pas moi. Je voulais de l'action. J'allait être servit... Un garde s'aprocha de moi, menaçant, et, d'après son halène, je conclut qu'il était ivre. Il valait mieux ne pas l'enerver. - Alors, le nain...hips... tu fais... fais quoi ? hips ! - Je vien de la montagne, répondis-je prudament à l'amphore, et je suis érinté, si vous connaissiez un endroit respectable où je pourrais dormir, je vous en serais reconnaissant. - Un... Endroit pour...pour...pour dormir ? Il semblait réfléchir à quelque chose qu'il aurait oublié, Non, je ne vois pas... Je ne... Ah mais si... Vous pou...pou...pouvez aller à la taverne, c'est... fréquentable, et bon...bon...marché. Je remerciais cet homme ivre, et je me dirigis vers ce qui semblait être la taverne. Des éclats de voix, des comptines idiotes, des éclats de rire... Tout ça étaient mélangé à la fois. Si ça c'était un endroit fréquentable, alors que je devienne un elfe m'étais-je dit sur le moment ! Mais je devais passer la nuit au chaud, et or de question de dormir dehors. Je taperais simplement plus fort que l'autre. J'allais ouvrir la porte quand celle-ci s'ouvrire, par la force d'inertie de l'homme qui en sortit en vol plané, et j'entendis une voix gutturale qui intimait à la personne étalée dans la boue de la rue de ne pas revenir... Je pénétrais dans l'établissement, calmant quelques conversation, et des personnes peu fréquentable commencèrent à me regarder d'un sale oeil. Comment aurais-je pus savoir ce qui m'y attendais ? Comment aurais-je pus savoir ce qui allait scéller le destin de tous ? Je n'aurais pas pus, à moins d'être magicien, ce que je n'était pas... Lentement, les conversations s'arrêtèrent les unes après les autres. Tout le monde recardait, intrigué, étoné, voir hostilement le nain qui, indifférent, alla au comptoire prendre une bierre. Mes pas claquaient sur le dallage, unique bruit dans toute l'auberge, chaque client me disséquiant du regard. Je savai que les nains étaient rare, mais quand même ! Je m'assis sur un des tabouret, et je hélai le Barman. Celui-ci, lentement, posa le verre et le torchon avec lequel il le nettoyait, et pris une chope dans le meuble derrière lui... Bien sûr, j'au la plus crasseuse, mais je fis mine de ne pas l'avoir vus, et il me servit une longue rasade d'une bierre moussante, à la limite du débordement. Il me la posa sèchement sur le comptoire, et repris conscienscieusement de nettoyer son verre. Là, je compris que je n'était pas vraiment le bienvienus : Un homme baraquer tel une baraque se leva, s'aprocha de moi, et prit la chope avant moi, et la but, laissant dégouliner la bierre sur sa barbe brune. - Alors le Nabot, c'que tu fous ici ? - Messieur, je ne puis comprendre votre language. Il éclata d'un rire gras, et rabatit la chope en fer si violamment que le comptoire se fendilla. - Alors, tu répond la demi-portion ? Content de sa plaisanterie de mauvais goût, il éclata à nouveau d'un rire gras, et la majoritée de la salle le suivit. Indifferent, je commendais au Barman apeuré une chambre, mais avant qu'il ne me réponde, le "gorille" m'interpela : - Tu penses aller où, la naine ? Ici, c'est moi qui décide, alors tu fous le camps d'ici ! Les nains sont réputés pour leur passience, mais il y a un moment où il ne faut pas abuser. - Si tu ne t'écartes pasde mon chemin, tu aura du mal à t'asoire pendant un petit bout de temps. Il sourit méchament, certain de sa supérioritée par rapport à moi. Erreur, l'habit ne fais pas le moine - Vaz-y, approche, dit-il en enlevant sa ceinture contenat sa dague et en l'envoyant sur une table, montre nous si t'es une brute. La salle ria encore, moi, restant impassible, je ne répondit pas, mais j'enlevis ma hache que je lancis sur une table où elle resta figée. Le combat allait commencer... Dans un hurlement, il se précipita, point levé sur moi. Avec une grâce de nain, je m'écartai de son chemin ,et il alla finir sa route contre une table, qu'il renversa. Il se redressa, un peu étourdit, et nous nous mîmes à tourner, chacun attendant le moment favorable pour frapper. Là, je ne vit pas une écuelle par terre, et je perdit l'équilibre une fraction de seconde, juste le temps à notre brute pour me frapper de plein fouet. Je crus qu'une montagne m'était tombé dessus, et je sentit le goût du sang dans ma bouche. Il se jeta sur moi pour m'écraser, mais j'arrivis à éviter le drame en roulant sur le côté. L'auberge commençais a hurler le nom de la montagne, mais son dernier coup m'avait tellement fais soufrire que je serais incapable de vous dire comment il s'appellait. Il s'aprocha de moi, menaçant, et moi, je me mis à reculer, toujours un peu dans les vapes. Quand je faus acculé à la table, mes mainscherchant frénétiquement un objet sur cette dernière, je crut ma fin arrivé quand il leva le point, prêt à frapper. Et l; miracle, je trouvit une cruche. Je la lui lançais au visage, où elle se brisa, lui entaillant sérieusement lui visage, le sang et la douleur l'aveuglant, il agitait les poings en tout sens en m'injuriant. Je profitai da la situation, et je me lançai contre lui, lui rentrant avec le plus de vitesse que je pouvais dans l'estomac. Je le renversait, et moi avec, et nous commençâmes à nous frapper, sans savoir si nous touchions justes ou pas, et je me rapelle que je réussis à sortir entier, si l'on oublit qu'il m'avait cassé l'arcade sourcilière, ainsi que le nez, et bien d'autre endroit avaient été un peu cabossé. Le nez en sang, et d'une humeur massacrante, je saisit la clef que tendais le barman apeuré, je regardit une dernière fois l'homme que je venait de mettre KO, je saisit ma hache, et, dans la clameur de l'auberge, j'étais allé me coucher, érinté, mais fier...
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Elle s'était réveillé dans un cauchemar réel au point d'en avoir gardé un souvenir. Elle tentait, en buvant quelques sujamma (ce qu'elle n'avait jamais fait auparavent) dans la petite cuisine de la maison de chasser son cauchemar. Sa petite masure était composé de trois pièce, la cuisine, au rez-de-chaussé, où s'entreposait des sacs, vivres, table, assiettes, cheminée... Bref, tout ce qu'un bon ménage à besoin pour vivre. Ca chambre était petite, avec une étroite fenêtre, dont les carreaux sale montraient le peu de rangement qu'il y était effectué... Son lit, dont les draps était en boule après son éprouvant cauchemar, était fait d'un bois rustique, laid, mal ouvragé, mais résistant bien aux gens un peus rustre qui ne save que très peu s'occuper d'eux. Cela convenait parfaitement à notre héroïne. Une armoire sombre que le peu de lumière de la lune éclairait contenant des vêtements usagé, à de nombreux endroit recousus trônait dans un des coins éloigné de la pièce, imposante, tel un monstre des profondeurs, prêt à sauter à la gorge quand le dormeur s'assoupissait. La troisième salle était la cave, petite, comme le reste de la maison, et ne contenait que quelques bouteilles poussiéreuses qui avait été entassés sur des étagères qui ne semblait que vouloir rendre l'âme. Oveanne, après avoir finis son verre, tenta de se rendormir, sachant pertinament que l'armoire et ses pasect inquiétant, tout les bruits de la maison qui lui semblais comme des avertissements d'un danger imminent, l'empêcherais de dormir, et elle passerais sans doute une nuit blanche. Une de plus. Son rêve, très présent, l'effrayait, l'empêchait de dormir. La dague, qu'elle avait jeté dans un des coins éloigné de la chambre, étincelait et réfléchissait froidement les éclats glaciales de la lune. C'était une certitude : elle ne trouverais pas le repos. Elle avait presque réussis à s'assoupir, quand on toqua. Et fort. Elle gromella, se leva en s'habillant en hâte avec un peignoire, et descendit les marche de bois avec de nombreux grincements. La personne retoqua, avec trois coup rapide. Elle ouvrit le loquais, et tira la porte, prête à insulté l'individus qu'elle verrait. Mais elle ne put que le regarder, le soufle coupé. L'homme qui se présentait était habillé d'une longue cape à capuche, cette dernière lui dissimulant les traits dans l'ombre, laissant seulement apercevoir son menton pointus. Il était habillé d'une armure discrette, parfaite pour le camouflage, sombre, comme tout le reste de ses habits. Son armure, déjà usagé à de nombreux endroit, lui avait sauvé la vie à de nombreuse reprise, déviant les attaques de briguand. Elle le détailla, lui, de corpolulence mince, d'une taille élancé, gracieuse, aux mains élégantes, ses bottes couvert d'une couche de boue sèches. - Bonsoire, madame, mais pourrais-je passer une nuit dans votre demeure ? C'est qu'il commenca à faire froid et je ne... - Mais entrez, voyons, venez vous réchaufer, vous avez l'air frigorifié. Pourtant, nous étions en vifazure, mais la température la nuit atteignait les -10 degrés, petit inconvénient qui n'était arrivé que très récamment. Oveanne allat mettre quelques bûches à brûler, qu'elle alluma ensuite, laissant le temps au feu de réchauffer progressivements la pièce. - Vous êtes très généreuse. Je suis heureux que vous ayez accepté de me loger cette nuit sous votre toit. Je ne sais où j'aurais passé ma nuit sinon. - Oh, ne vous traquassez pas, c'est ce que tout le monde devrait faire. Elle l'aurait volontier accepté, ce n'était pas ça qui la tracassait, c'était qu'elle était certain de l'avoir déjà vus quelques part... L'homme enleva sa capuche, révélant son visage au coin du feu : visage légé au trait fin et effilé, de long cheveux blond or, des lèvres mince, il ne pouvait y avoir qu'une qu'une seule race pour avoir une telle beauté, c'était les elfes des bois, les plus habiles tireurs qui existait. Mais il n'était apparemment pas que beau, il semblait aussi avoir une vivacitée d'esprit sans égales, comme le remarqua Oveanne quand il commença à lui faire la conversation avec une élégance et une justesse dans son language que peu de personnes avait de cette époque, et encore moins de la notre. Elle aprit au fur et à mesure de la conversation que son nom était Paxton Fettel, qu'il était un chômeur qui cherchait du travail, mais quand elle l'intérogea sur ses origines, d'où il avit pus apprendre ce language si doux à enttendre si il n'était qu'un ouvrier, et d'où venait son armure... En clair, quel était son passé, il refusa de répondre, se justifiant qu'il était fatigué; Il finit son verre de vin, et alla se coucher dans le matella qu'elle avait mis à son intention par terre, près du foyer dont seul les braises rougeoyaient. Elle le regarda pendant quelques secondes, intrigués, puis pris le bougeoir et s'en alla dans sa chambre, décidé à dormir
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[TES en général]Vidéos en délire du monde des Elder Scrolls
Bouzoukis replied to Confridín's topic in Mods Morrowind (TES 3)
Saphaniax, ne cherche pas à comprendre... Cet humour doit être trop dévellopé pour nous, bande d'inculturel... -
Une histoire deux histoire ... role player of game
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Quelqu'un pourrait m'enlever les balles que j'ai reçu, tempéta comme à son habitude notre très cher amis, parce que faire le bouclier humain, c'est très généreux de la part si c'est volontaire, et c'est la troisième fois que je défie ma règle d'or, et je pense pas qu'il y en aura trois... -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Le droïde (pas moi, hein) empoigna Glenwind par le cou et commença à le suspendre au dessus de lui, le tenant dans une poigne de fer... Heu, il à pas aimer, mais je pense aussi que je suis le dernier robot complètement démodé qui soit craintif à l'eau... Vive l'imperméabilitée ! Et, gray wolf, t'inquiète pas, je m'occuperais de cette vilaine blessure avec un minimum de douleur... promi... -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Ciber, dans un élan de réaction, rompit sa règle d'or : un robot qui comba et un robot mort, et dortit son joujou, qu'il avait amoureusement astiqué dans un moment comme celui-ci... La bataille allait être dur, et il comptait bien en sortir vivant pour soufrire avec enthousiasme dans l'océan qui allait les ramener... FEU !!! Qui m'aime me suive ! il allait pas être déçus, le droïde... le garde non plus. Avec une vitalité qu'on ne pouvait voire que dans terminator (j'ai pas les scies circulaires, désolé) Ciber commença à vider le chargeur, tentant dans un élan de crainte de ne pas toucher ses équipiers, il vida son arme, et, quand les cris et les éblouissement des yeux du droïde se furent calmer, il compris POURQUOI c'était lui le chef des gardes... Euh... C'est un collègue ? Un droïde faisant la taille de l'humain, épousant avec beauté la forme des muscles qui maintenant gisait en morceaux, la carapaces extérieurs du droïde étant tombé, il n'avait plus besoin de se limiter aux gests d'un humain ordinaire... -
Tu me rapelle un copain qui fait les vides-greniers en proposant ces antiquitées pour des sommes astronomiques, et le peire est que ça marche... Vais faire un vide-grenier, moi...
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Oulala... Moi je me perd avec tout ces étaient... La tête qui tourne... Bon, bein, pas trop d'idée, ci ce n'est que si quelqu'un pouvait me soulager de ce poid encombrant qu'est Saphy, j'en serait heureux, parceque sinon, je le balance à l'eau... -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Et j'ai une idée très positive, moi... Est ce que l'on peut faire autre chose que d'essayer de passer par la mer ? Parce que moi, j'ai 99,90% de me prendre une vague en pleine figure, et de me faire court-circuité... Je préfère encore rester ici que de vous suivre si c'est la seul issue que vous proposez -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Bon, en attendant, on fais quoi, a part se demander si oui ou non, j'aurais le droit de controler le robot (bien ue je pense que je vinirais par en avoir un...) -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Snif... Le vilain... Mais si on récupère au MOINS la mitraillette, je ne serias pas obligé de vous faire vomir la prochaine fois que je sauterait sur un garde... -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Mais il à vraiment l'air sympa... On peut pas l'assomer, ou le court-circuiter légèrement, histoire que je le bidouille... -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Ciber regarda son cousin éloigné avec un mélange d'intéret et de suspicion Mouais... Il à pas l'air très évoluer, le frangin... Vous pensez qu'il est étanche ? Et la belle mitrailleuse intégré a sa caroserie, vous pensez que je peux l'avoir ? Vous pensez qu'en le bidouillant, je peux en prendre le control ? (chouette, ça à l'aire pas mal :D ) -
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Bouzoukis replied to Saphaniax's topic in RolePlay
Vous pensez qu'il y a une salle de torture ? Parceque si il n'est pas réveillé, il y passe, déclara le robot en montrant d'un signe de tête le félin toujours paralysé, mainteant, aller savoir si il entendait ou pas...