SeiKen Posted October 15, 2009 (edited) Ce topic est écrit en français et en anglais. J'utilise les balises spoilers pour que les gens puissent voir facilement dans leurs langues respectives This topic is written in french and english. I'm using the "spoiler" tags so that people could easily read in their own languages Version française : Etant donné que le mod Oblivion Stargate a peu de chances de voir le jour désormais, j'ai eu envie de partager le travail que j'ai pu faire (avec l'aide des autres membres de la team, principalement Shiamr, Stranger et Gray). Tout cela pour que ce travail ne soit pas perdu. Alors certes, je ne mettrai pas tous les petits textes, les graffitis que j'ai pu faire en préparation de ce travail. Mais une version romancée, divisée en trois parties. Les parties où nous avions prévu plusieurs choix possibles ne seront pas présentées, j'ai choisi une des fins possibles, qui sert d'intro ci-dessous. Les deux premières parties sont centrées sur des habitants importants d'Aanlyundra. La troisième mettra en première ligne l'étranger venu de Nirn. Je ne sais pas encore si les parties seront mélangées ou bien séparées. Si l'histoire sera racontée chronologiquement ou plus anarchiquement. Bienvenue sur Aanlyundra. Vous découvrirez, et je l'espère apprécierez, un travail de fond dont j'ai été fier, dans une forme qui ne lui rendra surement pas faveur N'hésitez pas à commenter, soutenir, ou me corriger si je fais des fautes (surtout en anglais ). INTRO Alors que le soleil se cachait derrière la grande pyramide, l’ombre se levant sur la ville dévastée, enfin, l’espoir revenait dans l’esprit des Aanlyundrans présents. L’homme qui sortait de la pyramide, la main sur le ventre, la démarche hésitante, symbolisait tout cet espoir. Un peu de sang coulait au travers de ses doigts, et certains de ses gardes se demandaient comment il pouvait encore tenir son arme après tout ça. Le froid, si rapide à s’installer dans ce désert gigantesque, commença à faire frémir les vivants. Tous ceux qui restaient de marbre ne dureraient pas longtemps : les nombreux corps qui jonchaient le sol, amis ou ennemis, témoignaient de la barbarie du combat et le silence de la mort le leur rappelaient tout autant. Un guerrier, habillé différemment des gardes et des soldats enjambait les marches qui le menait au héros blessé. Son long habit pare-sable était en pièces, et on pouvait voir dessous des plaques de métal abimées et roussies. Aucune arme à la main, il l’avait lâchée le dernier ennemi au sol. Il laissa l’ami s’appuyer sur son épaule, malgré la différence de taille d’une vingtaine de centimètres. Là, et las, ils s’échangèrent quelques paroles, presque en souriant. En contrebas, tous attendaient la bonne nouvelle. Tous voulaient savoir si les sacrifices énormes endurés allaient prendre fin. Ou si leur était promise une mort lente et atroce, par ceux-là même contre qui ils avaient lutté. Le guerrier aida le blessé à avancer, doucement, comme si le temps n’avait plus de prise sur eux. Comme si le pire était derrière eux, et que l’espoir de la liberté tant espérée était si proche. Cette lente marche semblait aller au même rythme que la progression de l’ombre, la lente descente du soleil sous l’horizon. Et enfin, alors que le soleil commençait à être découpé par les flancs montagneux un peu plus à l’ouest, ils arrivèrent à portée de voix, là où l’étranger se tenait, croisant les bras et priant silencieusement pour le blessé. Le guerrier laissa l’étranger soutenir le blessé, et prit une grande inspiration avant de s’exprimer. Dans son cœur, dans son âme, il savait que ces hommes devant lui n’avaient pas besoin de longues phrases à ce moment précis. Juste de la certitude d’en avoir fini avec cette longue oppression. - La Déesse est morte, s’est-il égosillé de sa voix grave. Il arborait un début de sourire, chose que peu de gens l’avaient vu porter. Une bonne partie de la foule amassée laissa exprimer sa joie. L’autre soit pleurait de bonheur soit ne comprenait pas encore la signification des mots. La tête du blessé commença à dodeliner. L’étranger hurla un mot dans sa langue, et deux de ses compères vinrent l’aider à déposer le blessé au sol et à inspecter sa blessure. Alors que son esprit commençait à vagabonder, que le rythme du sang dans ses veines ne formait plus un rythme aussi soutenu, Nolan espérait que son histoire ne se terminerait pas ici-même. Et qu’il pourrait participer, ne serait-ce qu’encore un peu, à l’écriture de l’histoire de son monde. Les deux étrangers qui sortaient des ustensiles qui lui étaient inconnus, qui faisaient de leur mieux pour le soigner, pour le sauver, étaient dans le présent. Et le guerrier se remémorait du passé, ou comment un homme à lui tout seul avait réussi à libérer toute une civilisation. MAJ 28/12/2010 La première fois que Garreth avait rencontré le jeune Nolan était gravée dans sa mémoire. Une de ces histoires qui façonne une amitié et qui marque à vie. La caserne de Niba était un centre d’élite. Les garçons les plus robustes, les plus téméraires, peuplaient ce qui pouvait le plus se rapprocher d’une école sur cette partie du monde. Sur le fronton de la maison du responsable était gravée en aanlyundran : « Ici jamais de sentiments ». Peu des gens qui avaient vu cette enceinte savaient lire ces symboles. Garreth était un des rares à savoir lire parmi les gardes du Mehr. C’était un très bon soldat, un chef d’hommes expérimenté malgré son âge proche de la trentaine, et un homme respecté de tous. Pas du genre à rire : enseigner à quelqu’un comment protéger le symbole du pouvoir Aanlyundran, cela demandait du sérieux. Le Mehr de l’époque, Remer Mel, l’avait choisi pour veiller à l’instruction et la formation de nouveaux gardes. Ce n’était pas vraiment un grand honneur, loin de là. Garreth était une tête de mule, et encore plus avec Remer, et avait surtout une grande gueule et un franc-parler douloureux. Mais il y avait cette notion de confiance qui découlait du geste, cette responsabilité forte de sélectionner les futurs gardes du chef des Aanlyundrans. En gros, un bon moyen de se débarrasser de quelqu’un de gênant, mais avec de la valeur. Garreth vit au loin, du Nord, des silhouettes pointer silencieusement au dessus de l’horizon, finissant la montée vers le haut de l’immense cratère, pour mieux en redescendre vers la caverne. Sous un soleil de plomb, avec un minimum d’eau, et après des exercices intenses, il voulait connaître le plus résistant de ses apprentis. Apparut alors un peu plus vers l’Est une caravane, suivant la route liant Altaïr et Niba. Plusieurs chameaux se suivant les uns les autres avec un pas nonchalant. Garreth savait ce que pouvait présager une telle cohorte. Et d’après le flot d’injures qui traversait la barbe du garde à ses côtés, il n’était pas le seul. - Oui Mey, encore des touristes. La pointe où se situait Niba était un désert aride. Pas de plage ou de crique, pas de delta, et une immensité peuplée de rochers, minuscules ou gros comme le poing, qui repoussait quiconque n’ayant le courage de risquer sa vie. Le terme « touristes » était aussi idiot qu’espérer rouler tout du long sur la descente du cratère que les apprentis soldats venaient de traverser. Garreth prit une gorgée d’eau et se détacha tout de suite de son poste pour se diriger vers la caravane. Peu lui important de savoir que Lehm, ça devait être Lehm, serait le premier à arriver. Un bon gamin, mais avec une propension à laisser éclater ses nerfs plus qu’à les maîtriser. Plus la caravane grandissait dans son champ de vision, et plus les couleurs du drapeau le renseignaient sur l’identité des nouveaux venus. Les couleurs, blanc et bleu, indiquait que la famille était originaire d’Altaïr. Le nombre de drapeaux montrait la richesse de la famille ; sans doute un noble en quête d’amusement ou de dépaysement. Soudain, Garreth s’arrêta net. La tête d’aigle en plein centre du drapeau le stupéfia. Il connaissait les cinq grandes familles aanlyundrannes, leur importance, et ce symbole plus que tout autre. Il savait plus que tout à quel point la famille Ehya était respectée et avait enduré de trop nombreuses tragédies ces derniers temps, pour avoir grandi sur les rives du Noubh non loin d’Altaïr. Un garçon, d’une dizaine d’années, descendit du chameau de tête alors que la caravane stoppait sa matche. Il s’avançait vers le guerrier, la démarche lourde et fatiguée, les bras ballants pour s’économiser. A un mètre de lui, il vit enfin son visage et son regard sous sa capuche. Ses lèvres étaient desséchées et sa bouche grande ouverte, comme pour capter la moindre trace d’humidité, chose improbable. Il salua Garreth d’un geste de la tête, tout en refusant de boire à sa gourde. Le gamin allait mourir de soif, refusait toute eau, et pourtant, un grand sourire se dessinait sur son visage. - Je ne boirai qu’à la caserne. Pas avant. C’est bien la première règle pour une recrue. Garreth hocha la tête alors que le chameau portant la Dame Ehya se glissa subtilement derrière le garçon. - Et quel est le nom de ce garçon à former pour la Garde du Mehr. Nefer Ehya abaissa son regard doux sur le guerrier, et le guerrier y vit le même regard que celui du jeune homme prêt à mourir pour la garde du Mehr. - Nolan Ehya, mon seul fils. Nolan venait d’avoir 11 ans. Son regard gris semblait le vieillir tellement il semblait acéré. Il scrutait tout autour de lui, et analysait rapidement les situations. Il avait conscience de son environnement, même lorsqu’il se retrouvait dans une position qu’aucun noble n’avait connue. La Dame Ehya avait longuement discuté avec Garreth, ensembles sur une passerelle qui enjambait l’arrière-cour de la caserne. En bas, le jeune garçon regardait autour de lui, tranquillement, sans un bruit. Il vit passer une salamandre entre ses pieds. Laissant sa jambe gauche glisser vers le rampant, il put l’attraper de la main droite alors qu’elle évitait le pied du garçon. Garreth souriait. Pas seulement à cause de l’adresse du gamin, mais aussi par cette tâche qu’on lui confiait. - Nolan a eu une bonne éducation, et je veillerai à ce qu’il continue à l’avoir, murmurait la Noble. En la regardant de beaucoup plus près, Garreth ne lui voyait pas de ressemblance avec son enfant. Elle avait un vissage allongé, mais pas vraiment fin. Des boucles brunes entouraient ce visage, et ses yeux cerclés d’or étaient d’un brun profond. Son nez était court, presque en continu de la ligne de son front. Nolan ressemblait à ce père qu’il n’avait pas eu le temps de connaître. Un visage fin, presque sec, que ses yeux adoucissaient. Ses cheveux étaient plutôt raides et attachés dans son dos en deux points. Dans l’ombre, il paraissait presque aussi brun que sa mère, mais au moindre rayon de soleil, ses cheveux se teintaient de flammes éparses. Du brun à un roux flamboyant, ils passaient par presque toutes les teintes. - Il sera le Mehr un jour. Il doit l’être. Et nous savons tous deux que cela doit passer par l’agilité du corps et de l’esprit. Encore plus pour qu’il soit indépendant et juste. La Dame Ehya savait que Garreth relèverait le challenge. Il avait servi le Mehr pendant quinze ans, et avait appris à voir les qualités qui feraient un bon chef des tribus. - Je ne pourrais pas tout lui enseigner, Dame Ehya. Et je ne pourrais pas le mettre dans les mêmes conditions que ceux que je forme d’habitude. - Pourtant, il ne demande que ça. A voir son engagement total pendant le voyage, à voir sa volonté de toujours mieux faire, il n’a pas besoin d’un traitement de faveur. Le sourire sur le visage de Garreth s’effaça. S’il ne devait avoir aucune retenue, il savait qu’il ferait du gamin une machine à tuer. Ce que ne pouvait être un Mehr. - Vous ne jugerez pas mes méthodes, Dame Ehya ? Elle posa son regard sur son fils, qui s’amusait à décortiquer l’anatomie de la salamandre des yeux. Avec un petit sourire, elle déposa ses quelques mots doucement dans le vent. - Ne l’ai-je jamais fait, Garreth ? English version: Given that the Oblivion mod has slim chances of being released, I wanted to share the work I did (with the help of other members of the Rochmedia Team, mainly Shiamr, Stranger and Gray Wolf). So that that work won't be lost forever. So, yes, I won't share all the small texts, the drawings I did for preparing this work. But I will share it in a novel shape, divided in three main stories. The stories we wanted to do, with multiple choices won't be here, and I chose one of the possible end, you will see as an introduction beneath this text. The two first stories are based on important inhabitants of Aanlyundra. The third story is based on the stranger (JL, si tu me lis) from Nirn. I don't know yet if those stories will be mixed up or separated. If the novel will be written chronogically or more like a movie (with flashbacks and all). So, welcome on Aanlyundra. You will discover (and I hope like) a solid word I'm proud of, in a shape that I'll be less proud of. Don't hesitate to comment, motivate me, or correct me if I'm doing mistakes (english is not my native tongue and I'm a little rusty). INTRO As the sun hid behind the great Pyramid, the shadow covering the devastated city, at last, hope came back in the minds of all the present Aanlyundrans. The man leaving the pyramid, a hand on his stomach, with an hesitating walk, symbolizes all that hope. Blood flowed along his fingers, and some of the guards were asking themselves how he could still hold his weapon after all of this. The cold, so fast to install itself in this gigantic desert, began to make the livings to quiver. Those who kept still won't last long: the numerous corpses that covered the grounds, allies or enemies, were witnesses of the barbarian fights, and the sound of death were also souvenirs. A warrior, dressed differently than guards and soldiers, straddled the steps that lead to the injured hero. His long dress was in pieces, and behind it, metal plates, used and turned brown, could be seen. No blade in his hand, he dropped it as the last enemy felt down. He let his friend rest on his shoulder, despite the difference of height of almost twenty centimeters. There, weary, they talked a little, even smiled. Beneath them, everyone was waiting for good news. All wanted to know if their enormous sacrifices were to end. Or if a slow and painful death awaited them, given by those against they fought so hard. The warrior helped the injured man to move forward, slowly, as if the time had no matter. As if the worst was behind them, and that the hope of freedom they sought for a long time was close. That slow walk seemed to go at the same rhythm as the shadow progressing, the quiet descent of the sun below the horizon. At last, when the sun began to be eaten by the mountains towards the west, they arrived where the stranger was, with crossed arms and with a silent prayer for the hero. The warrior let the stranger take down the injured man, and then took a great inspiration before talking. In his heart, in his soul, he knew that the men before him didn't need any complicated sentences at that point. Just certitudes of the ending of this short war. - The goddess is dead, he said with his deep voice. He had a little smile on his face, a thing that not much people had seen on him. A large part of the crowd let their joy be seen. The other part either cried of happiness, or didn't understand the true meaning of those words. The head of the injured man started to node. The stranger howled a word in his language and two of his fellowmen came to help the hero on the ground and inspect the wounds. As his mind began to wander, as the flow of his blood in his veins diminishes, Nolan still hoped that his story won't end here. And that he could be a part, even a little longer, of the future history of his world. The two strangers that were using unknown instruments, that were doing their best to heal, to save, were in the present. And the warrior remembered of his past, or how a single man could by himself lead the quest of freedom of an entire civilization. Update 28/12/2010 The first time Garreth met the young Nolan was unforgettable. One of these stories that build friendship and change your life. The barracks of Niba was an elite camp. The toughest boys, the courageous ones, inhabited what was the closest from a school in this part of the world. On the front of the chief home was written in aanlyundran: “here no feelings”. Few people who had seen this location knew what those symbols meant. Garreth was one of the rare ones to know how to read in all the Guards of the Mehr. He was a very good soldier, an experimented leader of men despite being relatively young (30), and a respected man. Not a laugher: to teach someone how to protect the symbol of the Aanlyundran power, that was a serious task. The Mehr at that time, Remer Mel, had chosen him to keep an eye at the education and formation of the new guards. This was not really a great honor, far from it. Garreth was fierce, and he often spoke frankly without hesitating, even with Remer. But there was that inherent trust notion, this great responsibility to select the future guards of the leader of the Aanlyundrans. To briefly say it, a good way of getting rid of a bothering someone, but with dignity. Garreth see far up North silhouettes appearing on the horizon while they were finishing the rising of the immense crater, and starting to descend towards the casern. Under the hot sun, with a little of water, and after intense exercises, he wanted to know which apprentice was the more resistant. Then, at the east of the crater appeared a caravan, on the road that links Altaïr and Niba. Some camels in a row, in a saunter way. Garreth knew what could presage such a crowd. And based on the swear words of the guard that was besides him, he wasn’t the only one. - Yes Mey, more tourists. The peninsula in which Niba was was an arid desert. No beach, no creek, no delta, just a huge land of rocks, small or as large as a fist, that repulsed everyone who cared for their life. The “tourists” term was as idiot than hoping to roll down all along the side of the crater that the apprentices just crossed. Garreth took a lap of water, and quitted his post to go towards the caravan. He did not care if Lehm, it should be Lehm, would be the first to finish the apprentices race. A good kid, but with some rage issues. The more the caravan was in Garreth’s eyes, the more the colors of the flag gave him information on the identities of the people on it. The colors, white and blue, indicated that the family originated from Altaïr. The amount of flags showed the wealth of the family; with no doubt a noble in quest for some fun or change of scene. Suddenly, Garreth stopped, as he saw the head of an eagle at the center of the flag. He knew the five high families of Aanlyundra, their importance, and this symbol more that every other. He knew more than anything the respect that surrounded the Ehya family, as well as the numerous tragedies they encountered lately. The fact that Garreth grew up near the Noubh banks, not far from Altaïr was the reason for that knowledge. A boy, around 10, jumped down of the camel at the head of the caravan, just when the caravan stopped its progression. He walked towards the warrior, with hard and tired steps, trying to not use too much of what forces were still in him. When the boy was one meter away from Garreth, he finally saw the face and the eyes under the hood. His lips were seared, and his mouth wide open, as if it could capture an improbable trace of humidity. The kid saluted Garreth with a movement of his head, but refused to drink from the warrior’s gourd. The kid could die from lack of water, and still, had a large smile on his face. - I will only drink in the casern. Not before. This is the first rule for a recruit. Garreth nodded positively, and the camel on which was Lady Ehya slides subtly behind the boy. - And what is the name of this boy to educate for integration in the Guard of the Mehr. Nefer Ehya lowered her soft eyes upon the warrior, and he saw the same eyes that the little man ready to die for the Mehr. - Nolan Ehya, my only son. Nolan just got 11. His grey eyes seemed to make him older as they were sharp. They observed everything besides him, and helped him analyze the situations quickly. He had conscience of his environment, even when he was facing something that no noble had known. Lady Ehya had talked a long time with Garreth, both on the catwalk just above the backyard of the casern. In the backyard, the kid looked around him, calmly, without a noise. He saw a salamander between his legs. Letting his left foot slide towards the lizard, he managed to catch him with his right hand as it avoided the foot. Garreth smiled. Not only because the kid was kind of gifted, but also because of the task he was given. - Nolan had a good education, and I intend to keep it this way, said the Noble woman. When looking at her much closer, Garreth saw no resemblance between her and her child. She had a long visage, not really fit. Dark hair circled her face, and her gold-circled eyes were as dark. Her nose was short, almost following the line of her front head. Nolan looked a lot like the father he did not have the time to know much. A fit face, almost sharp, softened by his eyes. His hair were straight and attached in his back in two points. In the shadows, he was as brown as his mother, but at the first sunshine, his hair was tainted with some flames. From brown to almost red, his hair had all taints. - He will be the Mehr one day. He must be. And we both know that it requires agility of body and mind. And a lot of that to ensure independence and fairness. Lady Ehya knew that Garreth will accept the challenge. He had served the Mehr during fifteen years, and learned what qualities a chief of tribes must have. - I can not teach him everything, Lady Ehya. And I could not put him in the same conditions as the other recruits here. - But he only asks for that. To see his engagement during the trip, his will to always do better, he does not deserve a favor. The smile on the face of the warrior faded. If he should not have any favor, he knew he would make of this boy a killing machine. What could not be a Mehr. - You won’t judge my methods, Lady Ehya. She laid down her eyes on her son, who was inspecting the anatomy of the salamander. With a little smile, she gave up those words softly in the sandy wind. - Did I never did it, Garreth? Edited December 28, 2010 by SeiKen Share this post Link to post Share on other sites
Gray Wolf Posted October 16, 2009 Bonjour. Je ne doute pas qu'il a été dur de créer un tel background, d'après ce que j'en sais lorsque j'étais encore dans l'équipe d'Obli SG. Ayant créé un background très important pour un projet personel et le complétant encore, j'avoue que c'est une tâche dure. Cela dit, je trouve que le raconter de la sorte est quelque peu difficile pour le lecteur decomprendre la profondeur d'Aanlyundra... Cependant... Je vais être franc avec toi, Seiken: Aanlyundra ne m'a jamais enchanté. Je n'ai jamais trouvé le style, aussi bien fait fût-il, intéressant pour moi. J'ai tenté de faire des concessions et d'aider à l'étoffer au niveau de son adaptation en mod ( énigme du sphinx et temple de jenesaisplusquoi ( :D ) qui n'apparaissait qu'à un certain moment ), mais n'ai jamais véritablement accroché. C'est d'ailleurs en partie parce qu'on a voulu ramener Aanlyundra une fois de plus dans notre tentative de F3-Stargate que j'ai laissé tomber ce même projet... Projet que je considérais un peu comme le mien, ce qui a également contribué à des différences entre les membres. Enfin, passons. Share this post Link to post Share on other sites
Confridín Posted October 16, 2009 Moi c'est un peu le contraire. Ce que j'avais adoré dans le film Stargate et dans le débuèt de Stargate SG1, c'est justement ce mélange entre la SF et la culture et l'histoire de l'égypte. Aanlyundra a un potentiel énorme. J'adore ce script Seiken. C'était vraiment du bon boulot. Share this post Link to post Share on other sites
SeiKen Posted October 16, 2009 C'est ce qu'on disait avec certains membres, c'est qu'il en fallait pour tous les goûts. Et on avait cherché à travailler plusieurs planètes pour chacun. Pour ce qui est de "ramener" Aanlyundra, c'est surtout parce que je n'avais pas trop eu l'occasion de créer une planète, j'avais bossé sur le background d'Aanlyundra version Morro et j'avais envie de la traiter d'une manière plus poussée. Concernant les raisons autour de l'arrêt de F3 ou d'Obli, on peut mettre ça sur plus de choses que juste une planète quand on aurait pu en faire plus Share this post Link to post Share on other sites
Shiamr Posted October 16, 2009 Aanlyundra était justement ma planète préférée... Surement le fait que j'ai bossé un peu dessus comparé aux autres planètes, mais le background et l'ambiance égyptienne faisait un tout qui me plaisait Share this post Link to post Share on other sites
SeiKen Posted October 16, 2009 D'ailleurs, Deni Shimar fera quelques apparitions J'ai deux ou trois chapitres d'avance en français, mais je veux que les publications en français et anglais soient simultanées, donc faudra un peu patienter Share this post Link to post Share on other sites
SeiKen Posted December 28, 2010 Mise à jour un an après. J'ai retrouvé un peu de motivations pour avancer. J'ai encore un peu d'avance en français, mais faut bien faire la traduction aussi Share this post Link to post Share on other sites
Confridín Posted January 12, 2011 Bon courage pour le retour de ta motivation. Share this post Link to post Share on other sites